Qui est ODE ?

ODE

Artiste du Vivant

Qui est « ODE Artiste du Vivant » ?

Ou ce qui m’a (re)conduit à la prise de vue et à mes Arts Numériques Intuitifs

« J’ai toujours voulu devenir auteure photographe »

J’exerce en qualité d’auteure-photographe-plasticienne spécialisée en macrophotographie et plans rapprochés sur les éléments tels l’Eau (liquide, solide, gazeux), la Terre (minéral, végétal, animal), le Feu ou le Métal. Je pratique sous le pseudonyme ODE Artiste du Vivant ; je vis et travaille actuellement en Lorraine (France).

ode artiste du vivant
Employée comme auxiliaire de puériculture dans des familles aisées pendant 11 ans, un licenciement en 2001 m’oblige à tout remettre en cause. Après avoir exploré et expérimenté différentes voies artistiques, je laisse enfin émerger ma créativité et reviens à mon premier amour professionnel : la prise de vue. Je choisis alors pour exercer le pseudonyme « OD’A Vu, Artiste Photographe Bioéthic » et débute en 2005 par des travaux de photographies dans le secteur du BTP. Deux ans plus tard et en parallèle, je commence à exposer mes réalisations artistiques sur les éléments. Jusqu’à ce qu’en 2012, l’aspect artistique de ma pratique prenant de l’importance, je décide de m’y consacrer entièrement. Après mûres réflexions sur ma philosophie de vie, ma démarche, ma ligne artistique et mes objectifs artistiques et personnels début 2015, je mets fin au concept d’« OD’A Vu, Artiste Photographe Bioéthic » qui ne me correspond plus.

« ODE Artiste du Vivant » voit le jour deux mois plus tard.

Autodidacte, sans connaissance des techniques photographiques et encore moins des nouvelles technologies et du milieu artistique, j’ai appris, et continue d’apprendre, sur le terrain. C’est là que je développe mes propres procédés et ressources, tout en me formant régulièrement à des techniques et des outils multimédias.
Pour moi, la prise de vue est un outil et non une fin en soi. C’est la toile vierge du peintre, la terre du céramiste. L’écran, la souris et les logiciels sont mes pinceaux, mes peintures, les médiums utilisés en synergie avec les peintures.
Ce médium me permet de contempler, d’explorer, d’observer ce que nous côtoyons par une reliance et une alliance qui m’accorde de transposer un moment T, une vision afin de magnifier, glorifier, célébrer, honorer et de servir au sens noble du terme le Vivant sous toutes ses formes même les plus improbables par une alchimie associant traditions et modernité.

Crédit photo Eva Joncquel

Mes Arts Numériques Intuitifs

En français, les trois initiales forment le mot ANI, Dieu du ciel et des portes dans la mythologie étrusque (Janus pour les romains). Alors que la traduction anglaise « Intuitive Digital Arts » nous offre IDA, nymphe et fille du roi de Crète Mélissé, sœur d’Adrastée et nourrice de Zeus.
Mes Arts Numériques Intuitifs sont une perception, une traduction, un regard posé qui ne sera jamais terminé ; c’est une approche, une interprétation sans limites...
Ils parlent pour moi et bien mieux que moi. Ils se nourrissent de mes souvenirs d’enfance, des formes d’expressions artistiques transmises par ma famille, de la littérature... Ils révèlent mes dons de clairsensibilité et de clairolfaction, dont j’avais pris conscience à l’adolescence, sans toutefois en comprendre alors tous les enjeux, ni la finalité. Ils racontent mon introspection personnelle suite à ce licenciement en 2001. A l’époque, je n’étais pas pleinement consciente de tous les bouleversements qui s’opéreraient, de cette « traversée du désert » personnelle, sociétale et professionnelle qui m’attendait. Ni du fait que devenir artiste faisait partie d’un processus global : un voyage initiatique pour me retrouver tel un être qui vient de naître.
Mes œuvres me libèrent. En parallèle, elles se singularisent grâce à la reconnexion avec certains rites ancestraux issus principalement de la tradition amérindienne lakota (communément nommée sioux) et la formation à des techniques énergétiques.

Les 4 axes de mes Arts Numériques Intuitifs
Écrits volontairement au singulier et avec une majuscule pour les distinguer des noms communs mais aussi pour interpeller, questionner sur ce qui transparaît derrière ce qui paraît.

Les « Classique » (C) : macrophotographies, plans rapprochés avec un traitement postproduction sans réalité augmentée avec une accentuation et/ou un échange de couleurs (influence du mouvement coloriste).
Les « Tapis de la Révélation » (TR) : « Classique » que je tourne plusieurs fois en tous sens.
Les « KAléidoscopie » (KA) : découpe du « Tapis de la Révélation » en fonction de mon regard et de mes perceptions.
Les « AVAtart » (AVA) : transmutation d’un « Tapis de la Révélation », d’une « KAléidoscopie » par le biais de filtres inhérents à un logiciel.

Les « AVAtart » se tournent le plus souvent à 180°. Alors, que pour les trois autres axes, c’est de la position verticale à horizontale et inversement que d’autres Univers se dévoilent et s’offrent à nous.

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